Comment a réagi l’écosystème e-commerce français et quelles leçons en tirer ?
Le nouveau comportement des utilisateurs
Les consommateurs sont de plus en plus exigeants vis-à-vis des marques qu’ils choisissent et, avec le confinement, les internautes ont été surinformés mais pas toujours avec des informations fiables.
Pour le commerce en ligne par exemple, l’utilisateur a donc eu besoin d’être plus rassuré que d’habitude sur les niveaux de stocks réels communiqués par les marchands, leur capacité à livrer ou encore la fiabilité de leurs services lorsqu’il s’agissait d’un premier achat.
Les marchands qui ont fait preuve de plus de transparence (mise en place de mesures barrière, livraison, donc…) sont ceux dont le chiffre d’affaires à le plus progressé.
De nombreux français sont en effet devenus pendants la crise tributaire de la digitalisation du commerce avec parmi eux des digitaux sceptiques.
Sur les 2 mois de confinement, ce sont 2 millions de Français qui ont effectué leur premier achat sur internet.
Cette population vient de faire une nouvelle expérience de la commande en ligne et c’est pour beaucoup d’entre eux certainement le premier pas vers ce qui va devenir une habitude.
C’est le rôle des entreprises e-commerce de capter de changement de comportement, de capter ces nouveaux utilisateurs en maintenant le contact et en les encourageant à revenir en boutique digitale…
Quels résultats pour les acteurs du e-commerce ?
Dans ce contexte où le consommateur a été poussé à s’approvisionner en ligne avec un besoin de réassurance forte, les géants du e-commerce ont bénéficié d’un statut de valeur refuge de la distribution, Amazon en tête.
Source : comarkéting News
Consulter l’article ici
